Label International Ramsar

LABEL international Ramsar

Courteranges Elue “Ville des zones Humides”

Le Vendredi 9 novembre 2018 dernier, Le Maire Fabien GERARD et son premier adjoint Richard BONNEDAME, sont allés à Metz en présence de la Région Grand-Est, l’Agence de l’Eau, et du PNRFO avec Claire PARISE.

Le Label Ramsar a été attribué à 4 villes en France : Amiens, Courteranges, Pont-Audemer, Saint-Omer

     

Le label à donc été remis en présence de Christian GUIRLINGER (Région Grand Est)

Rappel sur Ramsar :

  L’urbanisation est une des grandes tendances qui définissent notre époque. Elle transforme nos lieux et nos modes de vie. Aujourd’hui, quatre milliards de personnes, c’est-à-dire près de la moitié de l’humanité vit en zone urbaine. Avec l’accélération de l’exode rural, ce chiffre devrait augmenter d’ici à 2050.

Les tendances actuelles de l’urbanisation pourraient faire peser une menace majeure sur la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides. Plus les villes grandissent et plus la demande de terres augmente, plus il y a d’empiétement sur les zones humides. Ces dernières sont souvent considérées comme des terres à l’abandon à transformer pour d’autres usages, y compris en décharges.

Or, lorsqu’elles sont préservées et exploitées de façon durable, les zones humides urbaines sont, pour les villes, des sources de multiples bienfaits économiques, sociaux et culturels. Pendant les tempêtes, elles absorbent les excédents de pluies, réduisant ainsi les inondations dans les villes et empêchant les catastrophes et les coûts qu’elles entraînent. La végétation abondante des zones humides urbaines sert de filtre aux eaux usées industrielles et domestiques et contribue à l’amélioration de la qualité de l’eau.

Les zones humides urbaines ne sont pas des terres à l’abandon. Elles sont précieuses et devraient donc être prises en compte dans les plans d’aménagement et de gestion des villes.

           

Lors de cette remise, le maire de Courteranges est intervenu  et n’a pas oublié de faire une rétrospective des différentes actions menées depuis 30 ans sur la commune en faveur de la réserve Naturelle Régionale, des zones humides  et du traitement zero phytosanitaire  mis en place depuis 2012 sur toute la commune. Il a également rappelé que la commune s’est engagée à faire de l’acquisition foncière raisonnée pour compléter la réserve Naturelle Régionale, ce qui en 2017, à fait passer de 22 à 29 ha sa surface totale acquise. Le PLU révisé en 2016, mentionne également ces zones protégées concernées, ce qui conforte et place la commune dans le top 4 français de la labellisation Ramsar.

                

11 novembre 2018

COMMÉMORATION DU CENTENAIRE DE LA FIN DE LA GUERRE 14-18

COURTERANGES 11 Novembre 2018

 

La cérémonie s’est déroulée entre 11h40 et 13h30 d’abord au monument puis au cimetière, pour se recueillir en présence des anciens combattants ainsi de leur porte-drapeaux.

 

Une quarantaine de personnes sont venues apprécier la lecture les différents textes, lus d’une part par les enfants de l’école (classe de CM1-CM2), d’autre part par des membres du conseil municipal et des courterangeois.

 

L’école de musique de Lusigny sur Barse, en présence de Mr DUPUIT et Mme PARTUISOT était présente, ce qui a permis de rendre la cérémonie plus “vivante”.

 

Madame PETIT ancienne professeur d’ Histoire-Géographie et passionnée, était également présente, elle est intervenue tout particulièrement sur les anciens combattants tombés à Courteranges, en relatant des faits historiques sur ces soldats, et en décrivant leur situation familiale et leur vie avant de partir au combat. Elle a également fait don d’un livre  “Troyes, l’Aube, La guerre” 1914-1922 aux éditions de la maison du boulanger. Dans ce livre on retrouve entre autre des anecdotes sur des soldats courterangeois morts pour la France. Ce livre a été ensuite dédicacé pour la commune.

Le Maire a remercié les différents “acteurs” de cette journée centenaire qui restera gravée dans nos mémoires.

 

Voici les textes lus : ces derniers relataient la perception de la fin de la guerre par différents protagonistes.

 Extraits de la déclaration du Président Clemenceau à la Chambre des Députés (Richard B)

“Le feu a cessé ce matin sur tout le front à onze heures… …Messieurs, je cherche vainement ce qu’en une pareille heure, après cette lecture devant la Chambre des représentants français, je pourrais ajouter… Pour moi, la convention d’armistice lue, il me semble qu’à cette heure, en cette heure terrible, grande et magnifique, mon devoir est accompli. Un mot seulement. Au nom du peuple français, au nom du Gouvernement de la République française, j’envoie le salut de la France une et indivisible à l’Alsace et à la Lorraine retrouvées. …Et puis, honneur à nos grands morts, qui nous ont fait cette victoire. Par eux, nous pouvons dire qu’avant tout armistice, la France a été libérée par la puissance des armes… …Quant aux survivants, vers qui, dès ce jour, nous tendons la main et que nous accueillerons, quand ils passeront sur nos boulevards, en route vers l’Arc de Triomphe, qu’ils soient salués d’avance ! Nous les attendons pour la grande oeuvre de reconstruction sociale. Grâce à eux, la France, hier soldat de Dieu, aujourd’hui soldat de l’humanité, sera toujours le soldat de l’idéal !”

Pétain informe ainsi la Nation dans ce communiqué de presse, à 21 heures (Renaud D)

“Au 52ème mois d’une guerre sans précédent dans l’histoire, l’armée française avec l’aide de ses Alliés a consommé la défaite de l’ennemi. Nos troupes, animées du plus pur esprit de sacrifice, donnant pendant quatre années de combats ininterrompus l’exemple d’une sublime endurance et d’un héroïsme quotidien ont rempli la tâche que leur avait confiée la Patrie. Tantôt supportant avec une énergie indomptable les assauts de l’ennemi, tantôt attaquant elles-mêmes et forçant la Victoire, elles ont après une offensive décisive de quatre mois, bousculé, battu et jeté hors de France la puissante armée allemande et l’ont contrainte à demander la paix. Toutes les conditions exigées pour la suspension des hostilités ayant été acceptées par l’ennemi, l’armistice est entré en vigueur, ce matin, à onze heures”. Philippe Pétain Fermé pour cause de victoire

Le soldat Jean Safon apprend la nouvelle dans la Somme (Valérie G)

“Le 11 novembre à 8 heures, nous faisions la pause à Nesle (Somme) et le colonel était à côté de nous quand un cycliste lui porte un pli en disant : “L’armistice est signé.” Après confirmation par la dépêche officielle, le colonel nous fit arrêter et nous indiqua les clauses principales de l’armistice. Puis il nous fit défiler avec la clique et le drapeau, mais à mesure que nous le dépassions, tout le monde se mettait à chahuter, ce qu’il comprenait fort bien : nous étions vainqueurs. Mais nous n’avons même pas eu un quart de vin ce jour-là dans le village où nous avons été cantonnés.”

Le soldat Werner Beumelburg rend compte de la fin des combats du côté allemand (Marie-Noelle J)

“Dans la matinée, l’ordre arrive aux troupes de suspendre les hostilités sur tout le front à partir de midi. Les mitrailleuses crépitent encore ça et là. Des obus passent en sifflant, dans les deux sens et éclatent en dégageant de petits nuages ronds de fumée grise. Des maisons brûlent. Les explosions d’obus de gros calibre montent des parcs et des jardins, droites comme des cierges. Des aviateurs tiennent l’air. Les fils blancs et ténus de leurs balles traçantes se croisent. Vers midi le combat diminue visiblement d’intensité. Il faiblit lentement et avec hésitation. Par moments il s’arrête déjà entièrement pour quelques secondes. La guerre râle et respire difficilement. Puis des crépitements aux tons grêles éclatent à nouveau. Peut-être est-ce une mitrailleuse qui tire sa dernière bande dans le bleu du ciel. Encore un obus. Deux avions se suivent. Le petit Spad monoplace pique vers ses lignes en décrivant une courbe rapide. Le Fokker se cabre, monte presque verticalement, se retourne sur la queue et repart vers l’arrière. Tout à coup c’est un silence de mort. Lentement les fantassins sortent de leurs trous. En face d’eux, à cent mètres, les sentinelles ennemies sont debout, baïonnette au canon. Les casques plats des Anglais et les casques ronds des Français sont nettement reconnaissables. On se voit pour la première fois depuis quatre ans sans se tirer les uns sur les autres. Le silence persiste. Cinq minutes, dix minutes, une demi-heure. Les compagnies, poignées d’hommes, se rassemblent et se dirigent vers les cantonnements qui leur ont été assignés. Des sentinelles restent en arrière. C’est vrai – ce n’est pas un rêve – ce n’est pas un cauchemar – tout est passé. La guerre est finie. On ne tire plus. Il n’y a plus de balle, ni d’éclat d’obus. Les listes de pertes sont closes. On reverra ses foyers. Au plus profond des coeurs jaillit une émotion sourde, une hésitation violente entre l’allégresse et la douleur atroce. Ô terre natale ! Ô patrie !”

 Le Capitaine Stern lui donne la répartie (Livia P)

“Ça y est ! L’Armistice est signée. Nous l’avons d’abord appris par les Boches ma foi, avec leur radio. Il était 9 h 1/2 ce matin environ. Quant aux avis officiels, ils ne nous sont parvenus qu’à 14 heures. j’espère qu’on a fait plus vite pour en aviser le front et que l’on a arrêté la tuerie même avant onze heures – heure officielle ! Quant à la DSA, elle ne m’a qu’attrapé parce que soi-disant à Troyes on avait arrêté le travail à 15 h ! … Je me doutais de ces dispositions stupides de l’esprit de ces petits potentats, aussi n’avais-je rien fait ici, faute d’ordres. Demain on travaille comme d’habitude. Je m’évertue à stimuler mes gens à les faire travailler malgré l’énervement. J’y réussis et j’en suis fort aise. Ce soir, on leur a fait une représentation au théâtre – pas trop mauvaise ma foi, de cinéma et de concert. Bref, je pense surtout que maintenant on va causer de paix et de retour, que l’heure approche vraiment où l’on retrouvera les siens -et qu’enfin l’on ne tue plus – fini les as et les héros, les lauriers et les Palmes ont été nombreuses et la gloire revient vraiment à “notre France !” Vive la France, Vivent nos chers Poilus ! Quelle joie ce doit être en première ligne et combien je regrette mon 207e où ce doit être fête -oh combien ! Ma petite femme chérie, finie la guerre – à bientôt notre amour repris au jour le jour. Notre Lili entre nous, et tous trois heureux, bien heureux. Dieu nous a sauvegardés, qu’il nous donne maintenant, dans la paix la modeste tranquillité de notre chez nous par la santé d’abord et le bon travail ensuite qui me permettra d’être un bon mari et un bon papa ! Nous allons retrouver nos prisonniers ; Géo, Georges, tous seront là en un beau jour prochain dans lequel s’effacera le cauchemar de cette atroce guerre ! Merci Mon Dieu ! Et que mon cher Papa doit être heureux là-haut, nous tendant nos chers petiots trop tôt enlevés à notre tendresse, je le vois à ma vieille maman, sa soeur, mes chéries, mon frangin, à nous tous qui nous aimons tant – je le vois s’encadrant des deux pauvres petites têtes frêles – nous dire : c’est pour toutes les larmes que vous avez versées et tant de chagrin sincère dont vous êtes inconsolables que Dieu n’a pas voulu vous toucher plus – et vous aurez encore du bonheur bien longtemps. La Guerre est finie, vive la Paix pour l’éternité et vive mon chez moi !”

Un anonyme raconte (Martine R)

“Lundi 11 novembre ma chère maman, Ce matin, de bonne heure, les autos américaines et françaises qui défilent sur la route à cent mètres de notre installation arboraient des drapeaux. Et à 11 heures, nous apprenions à la fois la signature de l’armistice, la fuite du vieux bandit et la révolution en “Bochie”. Et toutes les cloches des villages voisins sonnent de joyeux carillons cependant que le canon a cessé de tonner et que le soleil (de la fête aussi) fête l’été de la Saint-Martin et la fin de la guerre. Te dire notre joie à tous est impossible. Ma première pensée a été pour ceux que j’aime, pour toi, ma chère vieille maman, qui vas retrouver ton pays redevenu français. J’ai jeté un regard sur les Vosges qui se profilent devant nous ; les deux versants en sont français maintenant, et pour toujours !!!”

Un chroniqueur du Miroir décrit la fin des combats (Jérôme B)

“Lundi 11 novembre : l’armistice a été signé. Dans la dernière journée, nos troupes, maîtresses de Mézières, avaient passé la Sermonne, enlevé le village de ce nom et atteint la route d’Hirson à Mézières, au sud de Remwez. Sur notre droite, nous continuons à franchir la Meuse entre Lunes et Donchery. Dans sa retraite précipitée, l’ennemi avait abandonné partout un matériel considérable. Nous avons capturé, notamment entre Anor et Momignies, des canons, de nombreux véhicules de toute sorte et des trains entiers de chemins de fer. Les Anglais, après avoir dépassé Maubeuge, s’approchaient de Mons, malgré la résistance des arrière-gardes ennemies. Leurs détachements avancés poussaient en avant, au sud-est de Mons et arrivaient à la ligne du canal à l’ouest et au nord-ouest de cette ville. Au nord du canal Mons-Condé, ils avaient pris Leuze et touchaient à Ath. Ils avaient progressé de 7 kilomètres à l’est de Renaix. Les Américains avaient réalisé des gains considérables sur de nombreux points, le long de la ligne, entre Meuse et Moselle. Des troupes de la première armée avaient atteint, en coopération avec les unités françaises, les lisières sud de Stenay et occupé le bois de Chenon, an sud de Baalon. Au-delà des pentes orientales des hauteurs de la Meuse, les villages de Gibercy, Abancourt et Grimaucourt avaient été occupés. En Woêvre, la 2e armée avait pénétré dans les lignes de l’ennemi, qu’elle avait chassé de plusieurs fortes positions. Les villages de Marcheville et de Saint-Hilaire avaient été pris. Les Belges avaient atteint le front Nederzwaun-Hermelghem-Boucle-Saint-Denis-Zegem zen. Les unités américaines à leur gauche avaient franchi l’Escaut à l’est de Heuvel. 15 kilomètres d’avance avaient été réalisés au sud et 7 au centre.”

Lettre d’un ancien combattant ( Élèves de CE2, CM1, CM2)

 

Saint-Denis, le 15 octobre 1914,

Cher papa, Chère maman
Avant de quitter Saint-Denis pour les lignes de feu, je tiens à vous dire mes dernières volontés.
C’est avec conscience et en toute connaissance de cause que j’ai demandé à partir. J’ai voulu rester digne du nom Christol. C’est le seul et le plus bel héritage que vous puissiez nous transmettre. Vous nous avez toujours dit que nous devions accomplir notre devoir entièrement malgré tous les sacrifices qu’il comporte ; le moment est venu, il faut chasser les barbares, les massacreurs de femmes et d’enfants, ceux qui ont détruits l’héritage artistique de nos aïeux et qui ont voulu rabaisser l’homme au niveau des sauvages ; il faut chasser tout cela de notre belle France, et pas un Français n’est de trop.
Tous nous devons avec résignation donner notre vie à la Patrie tels les Anciens et nos aïeux de 89, restons dignes d’eux.
Je pars avec votre bénédiction.
Vous êtes tous deux résignés et prêts au dernier sacrifice. Quand vous ouvrirez la présente, je ne serai plus, mais je resterai au fond de vos tendres cœurs. Vous n’aurez pas à rougir de vos pauvres fils et vous pourrez parler d’eux avec fierté.
Je n’ai rien à léguer, vous le savez.
Je voudrais que de temps en temps vous parliez de moi à mes petits neveux, à Pierre surtout, il fut une de mes dernières joies à Saint-Denis.
Je voudrais surtout, et je sais que vous le ferez, que vous consoliez ma chère Andrée. J’ai brisé sa vie en voulant la rendre heureuse. Nous faisions un rêve trop beau tous les deux, les circonstances l’ont changé.
Je sais, mon cher papa, que tu remplaceras le père qu’elle a perdu. Je voudrais aussi, si elle y consent, et si vous faites des lettres de faire-part, qu’elle figure sur elles. Son amour fut grand et mérite d’être récompensé. Nos âmes et nos cœurs ne faisaient qu’un, nos pensées étaient les mêmes. Il ne manquait que la consécration de notre union.
Voici à peu près tous mes désirs et je souhaite de tout mon cœur que vous ne lisiez jamais cette lettre.
Recevez mes plus affectueux baisers. Vous avez toujours été bons pour nous ; il a fallu qu’une guerre barbare détruise la douce maison de la Varenne ou j’ai passé de si bons moments près de vous et de la famille. L’homme propose, Dieu dispose. Adieu, j’aurais aimé vous rendre la vie heureuse que vous avez faites à tous, mais hélas ayez du courage, c’est pour la France et la Justice que votre Julien est mort.
Adieu.

Julien CHRISTOL

Etat Civil – Dossier de Mariage

PIÈCES À FOURNIR
POUR UN DOSSIER DE MARIAGE

  • 1 – Le dossier de mariage : (attestation sur l’honneur, fiche des renseignements, listes des témoins)
  • 2 – La photocopie de la carte d’identité  : du futur époux, de la future épouse, des témoins (un au minimum, deux au maximum par époux)
    Attention, les adresses figurant sur les cartes d’identité doivent être correctes
  • 3 – Les actes de naissance des futurs époux datant de moins de trois mois à la date du mariage.
  • 4 – Une facture de domicile de moins de trois mois du futur époux de la future épouse
  • 5 – Photocopie du livret de famille si il y a des enfants en commun.

DOSSIER À FOURNIR UN MOIS AU MOINS AVANT LA DATE DU MARIAGE

attestation-sur-l-honneur
fiche-de-renseignements
liste-des-temoins

Inscription sur les listes électorales

L’inscription se fait toute l’année sauf pour les jeunes majeurs qui sont inscrits d’office, sous réserve qu’ils se sont faits recensés à l’âge de 16 ans.

Pour vos démarches d’inscriptions sur les listes électorales, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous :

http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F1372.xhtml

Aide-mémoire local

Aide-mémoire local

 

Boulangerie – Patisserie

La Pelle à Tarte
44 Rue du Capitaine Côte
10270 COURTERANGES

Tél : 03.25.46.63.62

Café – Restaurants –

Les Acacias
48 Rue du Capitaine Côte
10270 COURTERANGES

tél : 03.25.41.20.90

Fermé le mardi.


Ramassage des poubelles
Le ramassage est fixé au lundi matin.

Ramassage des sacs de tri
Le ramassage de tri se fait les mercredis tous les 15 jours.

 

Services publics

Services publics

Mairie : Place Aimé et Jean Claude Chanet
Tél : 03.25.41.20.89
Fax : 03.25.41.54.03

Ecole : Place Aimé et Jean Claude Chanet
Tél : 03.25.41.51.50

Bibliothèque : Place Aimé et Jean Claude Chanet
Tél : 03.25.41.64.97

Gendarmerie : (Lusigny sur Barse)
Tél : 03.25.41.20.09

Collège Charles Delaunay : (Lusigny sur Barse)
Tél : 03.25.43.84.20

La poste : (Lusigny sur Barse)
Tél : 03.25.41.63.00

Trésorerie (Perception) de Lusigny
Tél : 03.25.41.20.43

Santé, urgences

Santé, urgences

Un défibrillateur est disponible en cas de besoin sur le mur extérieur à gauche de l’entrée de la Mairie.

 

Cabinet Médical des Ouches

Docteurs Frédéric BETOUX et Bertrand-PASQUIER
10 rue Mar. Foch
10270 LUSIGNY SUR BARSE

Tél : 03.25.41.20.27

 

Chirurgien-Dentiste

Docteur DUTITRE Nicolas
3 impasse du stade
10270 LUSIGNY SUR BARSE

Tel : 03.25.42.32.16

 

Cabinet De Kiné Du Lac

Audrey GERARD et Elodie PREVOST GAUTHIER
47 rue du Capitaine Cote
10270 COURTERANGES

Tél : 03.25.41.26.22

 

Pharmacie Dehon
24 avenue Pierre Gomand
10270 LUSIGNY SUR BARSE

Tél : 03.25.41.20.36

 

Présentation de la commune

Notre commune

Courteranges, village de 600 habitants, est située sur le canton de Vendeuvre sur Barse et sur le territoire du Parc National de la Forêt d’Orient. Il offre un cadre idéal pour les amoureux de la nature, alliant ruralité et modernité.

 

 

 

 

 

 

 

Vous trouverez sur le site des infos pratiques sur la commune, le conseil municipal, la bibliothèque, l’histoire de Courteranges.

Courteranges fait désormais partie de Troyes Champagne Métropole

Voici sur ce LIEN les conseillers communautaires.

 

Services communaux

Service d’assainissement collectif :

La commune a réalisé en 1990 un réseau d’assainissement collectif. La commune ayant rejoint Troyes Champagne Métropole la compétence assainissement a été transférée en 2017.

Service Garderie Cantine et accueil loisirs sans hébergement :

Le service est désormais assuré par les PEP10.

Accueil des enfants le matin à partir de 7h30 du lundi au vendredi.

Le mercredi accueil à Lusigny sur Barse à partir de 7h30

La restauration scolaire se fait tout les midis excepté le mercredi à Courteranges, capacité d’accueil 45 enfants.

Directrice: Mme Axelle RICHARD.

Emplacement : Place Aimé et Jean Claude CHANET – 10270 COURTERANGES – Tél : 03.25.41.64.97.
– Tél portable : 06.52.64.37.44.

Le conseil municipal

Le conseil municipal

 

Conseillers Municipaux

 

 

  • Hasan AFSAR
  • Richard BONNEDAME 1er adjoint
  • Dominique JOLLARD 2ème adjoint
  • Shirley BOURGEOIS 3ème adjoint
  • André HUGON 4ème adjoint
  • Cécile CONSIGNY
  • Angélique COQUARD
  • Myriam DARDY
  • Marie-Noëlle JAROSZ
  • Thierry LAYNAT
  • Jean-Michel MONNIER
  • Ludivine PARIS
  • Livia PERLOT
  • Christelle TARTAGLIA

Maire : Fabien GERARD

Visite à Verdun – 28 Avril 2018

Le samedi 28 avril 2018, le club 14-18 , en collaboration avec le comité des fêtes et la commune, ont invité les courterangeois, les courterangeoises et quelques personnes exterieures, à participer à une visite du site historique Verdun. Au programme : Souvenirs et anecdotes de la première guerre mondiale, à l’aide d’un guide historique et touristique le tout en bus. Journée agréable et forte en émotion.

 

 

visite de la chapelle à Fleury

 

Vide dressing 2017 – Une 1ère !

Le 12 novembre 2017, le comité des fêtes organisait son tout premier vide dressing au Cosec de Lusigny sur Barse, malgré la pluie de nombreux participants sont venus vendre leurs habits de puériculture et autres.

Nombreux, les visiteurs pouvaient se restaurer avec crèpes et gauffres, le tout préparé par notre Chef André et servi par les “Courteranges Girls” Johana, Valérie, Delphine Aurore, Lise et Cathy !

 

Sites naturels et panoramas

Les prairies humides de Courteranges

Article extrait du journal communal :

Label International Ramsar

 

Rappel sur Ramsar :

  L’urbanisation est une des grandes tendances qui définissent notre époque. Elle transforme nos lieux et nos modes de vie. Aujourd’hui, quatre milliards de personnes, c’est-à-dire près de la moitié de l’humanité vit en zone urbaine. Avec l’accélération de l’exode rural, ce chiffre devrait augmenter d’ici à 2050.

Les tendances actuelles de l’urbanisation pourraient faire peser une menace majeure sur la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides. Plus les villes grandissent et plus la demande de terres augmente, plus il y a d’empiétement sur les zones humides. Ces dernières sont souvent considérées comme des terres à l’abandon à transformer pour d’autres usages, y compris en décharges.

Or, lorsqu’elles sont préservées et exploitées de façon durable, les zones humides urbaines sont, pour les villes, des sources de multiples bienfaits économiques, sociaux et culturels. Pendant les tempêtes, elles absorbent les excédents de pluies, réduisant ainsi les inondations dans les villes et empêchant les catastrophes et les coûts qu’elles entraînent. La végétation abondante des zones humides urbaines sert de filtre aux eaux usées industrielles et domestiques et contribue à l’amélioration de la qualité de l’eau.

Les zones humides urbaines ne sont pas des terres à l’abandon. Elles sont précieuses et devraient donc être prises en compte dans les plans d’aménagement et de gestion des villes.

Curiosités et monuments

Curiosités et monuments

Eglise de la nativité

Église dédiée à la Nativité de la Vierge de 1959 : elle a remplacé l’ancienne église d’origine romane impossible à restaurer. Elle abrite un remarquable tableau de bois sculpté, représentant Jésus Christ ; et quelques statues anciennes comme l’Enfant Jésus de Prague symbolisant l’autorité de Dieu. L’église, tout comme l’école et la mairie, sont d’architecture moderne (construites de 1957 à 1959).

Commissions

COMMISSIONS COMMUNALES:

 

COMMISSIONS PRESIDENT DE COMMISSIONS MEMBRES
N°1 Affaires scolaires, petite enfance, jeunesse Ludivine PARIS Livia LIENARD
Angélique COCQUARD
N°2 Finances,  ressources humaines, sécurité, intercommunalité Fabien GERARD Président
Shirley BOURGEOIS Vice-présidente
Tous les membres du conseil municipal
N°3 Actions sociales, solidarité, santé Fabien GERARD Tous les membres du conseil municipal
N°4 Espaces verts, Environnement,  Développement durable, Travaux voiries, Assainissement, Urbanisme Richard BONNEDAMME Murat AFSAR
Shirley BOURGEOIS
André HUGON
Dominique JOLLARD
Marie-Noëlle JAROSZ
N°5 Sport, Fêtes et cérémonie, Culture, Communication André HUGON Livia LIENARD
Richard BONNEDAMME
Shirley BOURGEOIS