Patrimoine
Nos Chemins Vicinaux :
Extrait du journal communal
Article extrait du journal communal :
—
Label International Ramsar
Rappel sur Ramsar :
L’urbanisation est une des grandes tendances qui définissent notre époque. Elle transforme nos lieux et nos modes de vie. Aujourd’hui, quatre milliards de personnes, c’est-à-dire près de la moitié de l’humanité vit en zone urbaine. Avec l’accélération de l’exode rural, ce chiffre devrait augmenter d’ici à 2050.
Les tendances actuelles de l’urbanisation pourraient faire peser une menace majeure sur la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides. Plus les villes grandissent et plus la demande de terres augmente, plus il y a d’empiétement sur les zones humides. Ces dernières sont souvent considérées comme des terres à l’abandon à transformer pour d’autres usages, y compris en décharges.
Or, lorsqu’elles sont préservées et exploitées de façon durable, les zones humides urbaines sont, pour les villes, des sources de multiples bienfaits économiques, sociaux et culturels. Pendant les tempêtes, elles absorbent les excédents de pluies, réduisant ainsi les inondations dans les villes et empêchant les catastrophes et les coûts qu’elles entraînent. La végétation abondante des zones humides urbaines sert de filtre aux eaux usées industrielles et domestiques et contribue à l’amélioration de la qualité de l’eau.
Les zones humides urbaines ne sont pas des terres à l’abandon. Elles sont précieuses et devraient donc être prises en compte dans les plans d’aménagement et de gestion des villes.
Eglise de la nativité
Église dédiée à la Nativité de la Vierge de 1959 : elle a remplacé l’ancienne église d’origine romane impossible à restaurer. Elle abrite un remarquable tableau de bois sculpté, représentant Jésus Christ ; et quelques statues anciennes comme l’Enfant Jésus de Prague symbolisant l’autorité de Dieu. L’église, tout comme l’école et la mairie, sont d’architecture moderne (construites de 1957 à 1959).
CONDITIONS D’UTILISATION
Cet espace est mis à votre disposition pour nous adresser un message par voie dématérialisée.
Nous vous rappelons que les propos à caractères injurieux, racistes ou diffamatoires, constituent des délits sanctionnés de trois ans d’emprisonnement et d’une amende de 45 000 euros (article 441-1 du code pénal).